Citations
Henry David Thoreau, philosophe américain
It often happens that a man is more humanely related to a cat or dog than to any human being.
“A Year in Thoreau's Journal: 1851”, p.49, Penguin
Tolle Eckart, philosophe américain
Thought subsides when you pet your dog or you have a purring cat on your chest. Even just watching an animal can take you out of your mind. It is more deeply connected with the source of life than most humans, and that rootedness in Being transmits itself to you. Millions of people who otherwise would be completely lost in the conceptual reality of their mind are kept sane by living with an animal.
Eckhart Tolle (2006). “Eckhart Tolle's Findhorn Retreat: Stillness Amidst the World”, p.54, New World Library
Vinciane Despret, philosophe belge
Les enfants sont baignés de fables avec des animaux anthropomorphes. Puis, ils deviennent grands et sont obligés de rompre avec ces histoires. Ils deviennent raisonnables. Pour la plupart des gens, les animaux ne sont plus que des mécaniques sans âmes, inintéressantes.
Shantideva
Dans des forêts, les animaux, les oiseaux et les arbres sont des amis parfaits, qui ne bavardent ni de médisent jamais.
Emerveillement, Matthieu Ricard, p. 80
Émile Lefèvre
L’homme n’a pas deux cœurs, l’un bon pour ses semblables, l’autre dur pour les animaux ; l’homme n’a pas deux esprits, l’un clairvoyant et désintéressé, l’autre myope et étroit.
Tous les oiseaux sont utiles, Librairie agricole de la Maison rustique, 1869, p. 27. https://citationsverifiees.fr
Ghandi
On peut juger la grandeur et la Valeur morale d’une nation à la façon dont elle traite ses animaux.
Source inconnue
Émile Zola
« Alors, est-ce qu'on ne pourrait pas, de nation à nation, commencer par tomber d'accord sur l'amour qu'on doit aux bêtes ? De cet amour universel des bêtes, par-dessus les frontières, peut-être en arriverait-on à l'universel amour des hommes. »
« L'amour des bêtes », publié en 1896 dans Le Figaro, Zola
Amélie Nothomb
"Je redécouvris cette ivresse de se réveiller avec le jour et de rester au lit pour guetter les chants d’oiseaux. (...) Joie de sentir la liesse de cette musique et de s’en laisser envahir. Qui peut résister à cette imprégnation, même inconsciente ? Je n’avais pas de défense immunitaire contre cette beauté."
Psychopompe, éd. Albin Michel, pp. 16-17